« Mais peu importe combien quelque chose nous blesse, parfois, l'abandonner fait encore plus mal.»
◮ Nom :Fizpatrick. ◮ Prénom(s) :Adrian ◮ Age :26 ans ◮ Date de naissance :dix-huit octobre mille neuf-cent quatre-vingt cinq. ◮ Lieu de naissance :Houston, Texas. ◮ Études / profession :Sans emploi. ◮ Groupe :hit the road jack. ◮ Avatar :Ian Somerhalder.
Droite, gauche. Droit devant ou retourner en arrière. Le front perlé de sueur, je cherchai encore la direction à suivre. Nord, Sud, Est, Ouest. J’étais juste parti avec ces souvenirs, avec des erreurs ; loin d’une vie dont j’avais pourtant rêvé, idéalisé et pour laquelle j’étais prêt à réaliser tous les sacrifices possibles. Les mains tremblantes, le cœur tambourinant dans la poitrine, je ne rencontrai malheureusement aucune réponse à ces nombreuses réponses. Devais-je être capable de les trouver par moi-même ? Pourquoi aujourd’hui alors que le restant de mes jours n’a été que pure mascarade ?
DIX TRUCS INUTILES A SAVOIR SUR TOI.
du genre la marque de ta voiture, si t'as des tatouages, ton caractère, qui sont tes parents, si t'as des flingues sur toi, le genre de musique que tu préfères, comment tu dragues et dis donc où t'as acheté ton tee-shirt ?
→ Adrian passait son temps à regarder la télévision, et surtout, des matchs de football. Quand il était plus jeune, il a postulé pour faire partie de l'équipe de son état, mais il n'a jamais été accepté. C'est d'ailleurs l'un des grands regrets de sa vie. → Il n’a jamais été le plus bosseur de son lycée, mais il parvenait toujours à se débrouiller plus au moins. Son domaine de prédilection restait la géographie. On se demande encore aujourd’hui pourquoi il n’a pas le sens de l’orientation. → Il n’a ni frère, ni sœur bien qu’il aurait adorée avoir une petite sœur dont il aurait pu s’occuper. Son père disait qu’un seul gamin à la maison suffisait, mais il a très vite compris que ce n’était pas le cas de sa mère. Ce qui explique probablement pourquoi ses parents ont divorcé alors qu’il n’avait que dix ans et que cette dernière a refais sa vie, a eu un enfant et ne s’est plus jamais occupée d’Adrian. → Son plat préféré est le plat typique du Texas. Un bon steack avec une bonne dose de frites. Il n’en a pas mangé depuis longtemps, cependant. → Avant de prendre la route, il ne possédait pas de voiture. Il s’en est acheté une juste pour l’occasion. → Même s’il n’a pas d’emploi fixe, rien ne l’empêche de trouver quelques boulots ici et là pour gagner un peu d’argent et pouvoir continuer à tracer sa route. L’expérience la plus drôle est la fois où il a tenté de réparer une voiture et que, comme par hasard, il y est arrivé alors qu’il n’avait aucune expérience et que son premier véhicule, il se l’était offert à peine quelques jours plus tôt. → Adrian déteste parler de lui et d’une façon générale, parler aux autres. Il n’est donc pas très sociable et il faut une sacrée dose de courage pour oser insister. → Le jeune homme présente une addiction certaine pour la musique classique. Quand il était plus jeune, il demandait des leçons de piano à ses parents qui ont toujours refusé. La musique country n’est pas donc pas tellement son truc même si pendant longtemps, on l’a un peu forcé à en abuser. → Il préfère conduire la nuit, plutôt que le jour. → La plupart du temps, il dort dans sa voiture. Il loue une chambre juste pour avoir le droit de prendre une douche.
◮ Pseudo / PrénomAlors je m'appelle Olivia, mais on m'appelle plus souvent Olive parce que c'est plus court d'une lettre Mon pseudo sur bazz' est skinny love mais c'est déjà écrit dans le profil alors je n'apprends rien à personne. ◮ Âge :dix-neuf ans mais j'approche plus des vingt quand même. ◮ Tu viens d'où ?je viens du nord. regarde sur une carte, tu trouveras surement. ◮ Comment t'es-tu retrouvé ici ?je sais pas, le hasard fait bien les choses. ◮ Tu aimes ?bien sûr ◮ Autre :je ramène surement quelques compatriotes pour me tenir compagnie et occuper mon Adrian, à l'occasion.
Dernière édition par Adrian Fitzpatrick le Jeu 23 Juin - 17:53, édité 5 fois
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:53
Droite, gauche. Droit devant ou retourner en arrière. Le front perlé de sueur, je cherchai encore la direction à suivre. Nord, Sud, Est, Ouest. J’étais juste parti avec ces souvenirs, avec des erreurs ; loin d’une vie dont j’avais pourtant rêvé, idéalisé et pour laquelle j’étais prêt à réaliser tous les sacrifices possibles. Les mains tremblantes, le cœur tambourinant dans la poitrine, je ne rencontrai malheureusement aucune réponse à ces nombreuses réponses. Devais-je être capable de les trouver par moi-même ? Pourquoi aujourd’hui alors que le restant de mes jours n’a été que pure mascarade ? Ce n’est peut-être que de la connerie tout cela, dans le fond. J’aurais pu passer des heures à marcher le long de cette route, à la recherche quelque chose que je semblais avoir perdu depuis trop longtemps maintenant. Soupirant, j’allumai le poste de radio qui annonçait les dernières nouvelles suivies d’une musique mélodieuse dont je ne connais pas le titre. Laissant aller ma tête dans un rythme décontenancé, des mots me vinrent à l’esprit. Un chapitre de mon existence que je ne parvenais pas à tourner ; une énième page qui ne voulait pas se tourner. « Je crois que j’ai aimé. » Oh que oui, je l’avais fais. De tout mon cœur, de tout mon être et comme personne ne pourra jamais le faire. « Je crois que je l’ai tant aimé ; que cet amour m’a poussé à la folie, à la certitude de n’être jamais assez bien pour elle, de ne jamais rien faire correctement, de ne pas savoir la faire sourire, de parvenir à la faire pleurer de part mon attitude. Je regrette de ne jamais avoir su être l’homme qui l’aurait mérité, qui aurait mérité ses sentiments notamment. » J’étais devenu une ombre ; la mienne en l’occurrence. Je ne voyais pas la lumière, juste cette profondeur qui ne cessait de vouloir s’éprendre de moi, ne jamais lâcher prise. J’étais tombé amoureux de la bouteille de la vodka. J’étais tombé amoureux de cette femme. Le combat était dur, je n’ai jamais su faire le juste choix. L’oubli ou le réalisme. Y avait-il réellement un juste milieu entre ces deux partis ? Chère Faye,
Je crois que je suis à dix mille lieux de la compréhension de la vie, de l’existence toute entière. Loin d’être le sage que j’aurais surement du devenir à tes côtés au lieu de te faire sombrer avec moi. Ensemble, on se l’était promis. Loin l’un de l’autre, nous le sommes en ce moment. Mon Dieu, si seulement je pouvais te toucher, te sentir, passer mes doigts dans tes cheveux pour en apprécier la douceur. Tes yeux me manquent, ton corps me manque. L’absence de tes mots me tue. Tu as été cette lumière, cette paix entre deux guerres, cette lueur d’espoir quand tout me semblait trop las pour continuer de me battre. La seule chose que je regrette c’est de ne pas avoir su saisir ma chance et derrière ce seul regret se cache tellement de non-dits. J’espère que tu les trouveras si tu lis ces quelques mots. Mon amour, mon cœur, tu ne le sais que trop bien ; je ne suis pas un homme qui sait manier les mots. Avec toi, un seul regard suffisait. Tu as toujours tout compris, dotée d’une intelligence à m’en couper le souffle. Tu étais à couper le souffle. Un baiser et je manquais cruellement d’oxygène. Une caresse et je sentais cet organe infaillible jouer les traîtres. Je te demande de me pardonner. Mon égoïsme ne l’est surement pas et ma fuite encore moins, mais au nom de notre amour, de ce qui nous a uni durant autant de temps. Si tu ne le veux pas, je le comprendrais. Il est clair, néanmoins, que tu ne pourras jamais lutter contre les sentiments qui m’habitent, qui finiront probablement par m’achever.
Je t’aime. Il me semble que cela résume tout le reste et toutes ces choses que je ne saurais jamais te dire.
FLASHBACK
« Faye ? » Allongée sur le canapé, elle se redressait légèrement, un peu étonnée de mon appel. Elle fit les gros yeux comme le signe qu’elle attend la suite. « Je me demandais … Peut-être qu’on pourrait sortir un soir. » Elle se mit à rire. Gêné, je tentais de garder le contrôle de mes sentiments. Je savais depuis longtemps que je ressentais plus que de l’amitié pour elle, mais je ne me l’étais jamais réellement avoué jusqu’à ce jour-là. « Pardon, mais tu me proposes un rencard ? » « J’imagine que c’est une sorte de rendez-vous oui. » Elle se leva rapidement, s’approcha de moi et posa son doigt juste sur mon torse. « Il t’en a fallu du temps pour me le proposer. » Elle roula des yeux, puis se mit à sourire. Effectivement, j’en avais mis du temps mais pour une femme comme elle, ça en valait certainement la peine. Elle se recula ensuite, prit ses affaires et me salua rapidement avant de sortir de l’appartement. Elle allait me rendre fou, d’un instant à l’autre. Et pour tout dire, j’adorai ce sentiment.
FIN DU FLASHBACK
« Je parie que tu as encore été voir l’un de ces mecs qui te tournent autour depuis qu’on est ensemble. Pourquoi tu ne t’en fais pas un, à l’occasion. Je suis sûre que ça te décoincerai un peu. » Je me rappelle mot pour mot ce que j’avais été jusqu’à lui dire. Je n’avais plus toute ma tête ; passer la journée à boire ne m’allait réellement pas. Pourtant, je le faisais, à longueur de temps et ce, même avant que l’on commence à sortir ensemble. Evidemment, au début, elle restait aveugle face à qu’elle a appelé par la suite, un problème, mais par la suite, elle n’a plus voulu fermer les yeux. Je devais régler cela pour ne pas l’avoir s’en aller. Au fond de moi, je savais qu’elle ne le ferait jamais ; elle m’aimait beaucoup trop pour ça. « Tu fais chier Adrian. » J’en avais conscience, un bon point déjà. Je m’étais dès lors rapproché un peu d’elle, lui caressant la joue et cherchant à l’embrassant. Je sentais l’alcool à plein nez, j’aurais du me douter qu’elle refuserait d’effleurer mes lèvres. « Allez Faye, embrasse-moi. » Mes doigts s’étaient agrippés à ses épaules, menacés même de lui rentrer dans la peau si elle refusait ne serait-ce qu’une seconde de plus. « Tu me fais mal, arrête ça. » Elle redressait la tête pour me regarder et dans son regard, je comprenais qu’elle me haïssait et qu’elle partirait, oui, au bout du compte. Je reculais, mis mes mon visage entre mes mains et lui tournais le dos pour finalement, me retrouver assis dans le canapé, crispé, me rendant compte de l’erreur que je venais de faire. « Je suis désolé. » Je répétais cela pendant une dizaine de secondes, ce qui représentait donc au moins six je suis désolé. Elle émit un soupir et quand son visage m’apparut tout près, je vis les larmes qui menaçaient de s’échapper. « Tu dois t’en aller. » Doucement, j’acquiesçai. Il le fait oui, comme jamais. Je devais cesser de jouer ainsi. Pas seulement avec ma vie, mais avec la sienne même si au fond de moi, je me savais incapable de lui faire du mal. Un silence s’installa rapidement, puis elle reprit. « On ne peut plus continuer ainsi. » J’étais toujours d’accord avec elle et je présumais que le plus tôt serait le mieux. Rapidement, je me retrouvais dans la chambre que nous partagions depuis quelques mois, à prendre un sac, quelques affaires. Un dernier regard et je traversais déjà le pas de la porte. Et depuis, trois mois sont déjà passés.
Adossé contre le comptoir du bar de la ville, je me projetais dans ce voyage que je continuerais de faire si je ne croisais pas le chemin de quelqu’un que je connaissais déjà. Il était plutôt rare que ce soit le cas de toute manière. Je n’avais plus qu’à tracer mon chemin, continué à avancer et voir où tout cela me mènerait. D’une certaine manière, l’inconnu me faisait peur ; dans un autre, il me laissait un goût étrange mais agréable au fond de la gorge. « Un peu de compagnie ? » Je tournais doucement la tête vers cette douce voix sans pourtant y prêter un grand intérêt. « Que je sois là ou non, vous auriez quand même pris cette place. » Je ne détestais pas la compagnie des autres, c’est plutôt elle qui me détestait ces dernier temps. Je souriais tout de même, ravi de ne pas avoir perdu de ce répondant. La jeune femme prit tout de même place à mes côtés sans répondre quoi que ce soit et commanda une bière auprès du serveur. J’arquai un sourcil, étonné qu’une femme demande une chose pareille. « Quand on traîne sur les routes depuis un bout de temps, on se comporte comme des hommes. » Je souriais de plus belle, enchanté de découvrir qu’exécuter un voyage de cette envergure ne présentait pas que des inconvénients. Je pris dès lors la même consommation qu’elle, trinqua en sa compagnie et rapprochai mon tabouret du sien en jetant un œil au reste de la salle qui s’avérait être complètement vide. « Tu voyages depuis longtemps ? » J’étais passé du vouvoiement au tutoiement en un rien de temps. Étrangement, j’avais besoin de cette compagnie. Depuis de nombreux jours, je n’avais croisé un peu. Un peu de civilité ne pouvait pas me faire de mal de toute manière. « Depuis la fois où j’ai quitté New-York. J’ai rencontré pas mal de monde, mais pas assez pour me faire un cercle d’amis stable si tu vois ce que je veux dire. » Je supposais donc que ma question était idiote de son point de vue, qu’elle avait étonnamment plus d’expériences que moi et pour finir, qu’elle savait manier les mots et les sous-entendus comme personne. « Et toi, qu’est-ce que tu fiches ici ? T’es genre un tueur en série qui cherche à fuir et coucher avec des gonzesses pour passer le temps ? » Je soupirai, las d’entendre des mots pareils. Elle semblait remarquer ma réaction et passa sa main contre mon épaule en lâchant un petit rictus. « Sérieusement, tu fuis quoi ? » « Je ne fuis pas. Je vois du paysage. » Alors qu’en réalité, je m’en serais bien passé de toute cette aventure. Rester chez moi, avec Faye, était mon plus grand rêve et j’avais du y renoncer. Elle marmonna quelque chose d’inaudible entre ses moustaches et tourna la tête vers moi. « Regarde-nous, deux âmes solitaires à la recherche de quelque chose qu’on ne trouvera sans doute jamais. Il n’y a pas d’avenir pour nous, par ici. » Curieusement, elle n’était pas la première à me le dire ; moi-même je l’avais supposé durant une longue période. Un mois, deux mois, trois mois que j’étais parti. Loin de tout le reste, loin d’une vie dont j’avais rêvé. Je hochai dès lors la tête pour montrer à quel point j’étais d’accord avec elle. Après tout, je n’étais pas obligé de passer tout ce temps seul. Cette pensée en tête, je pris derechef sa main avec un sourire en coin. « On n’est pas toujours obligé de la jouer solo. »
Je dévorai littéralement la saveur de ses lèvres, coincé son corps contre le mur et le mien. Mes mains firent le trajet entre sa joue, son cou, son corps tout entier sans s’arrêter. Rapidement, nos vêtements se retrouvèrent sur le sol et j’eus l’occasion de la découvrir en me demandant si ce serait la dernière fois. Je manquais cruellement d’une présence féminine, du doux parfum de cette peau. Chaque minute passée en sa compagnie était un pur délice et je ne regretterais surement jamais de m’être laissé aller avec elle. Je remontai les draps sur nos corps nus, caressant par la suite son dos d’une main plutôt délicate. « Si je te demande de m’accompagner sur la route, tu me dis quoi ? » Ses lèvres vinrent se glisser contre mon cou et je sens son souffle chaud qui a comme effet de me donner quelques frissons. Sensation pour le moins agréable. « Je te dirais que c’est impossible. » Derechef, je redressais la tête pour la regarder, cette fois. Elle posa son doigt contre mes lèvres, sachant pertinemment bien que je m’apprêtais à dire quelque chose. « Ce qui ne veut pas dire que je refuse. » Du jour au lendemain, nous avons du renoncer à cette cohabitation. Nous avons fais chemin inverse, elle a repris sa voiture et s’en est allée. Comme ça. « Je suis venue seule, je repartirais seule Adrian. »
Dernière édition par Adrian Fitzpatrick le Jeu 23 Juin - 17:23, édité 19 fois
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:54
Ah Ian Ian Ian ... qui peut résister à ses beaux yeux ? Pas moi en tout cas.
Bienvenue
SHE HAD SOME TROUBLE WITH HERSELF
Billy Fitzgerald
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:54
Ian t'es automatiquement réservé pour trois jours ! BIENVENUE ICI
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:55
Oups pardon
Je suis plus rapide que l'éclair
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:57
Bienvenue !!
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:58
Je crois que personne ne peut résister. C'est une perfection et ce que j'adore le plus chez lui, c'est sa voix. Il me fait fondre. Merci Maelys. Amber est super hot. Bonnie, tu es complétement pardonnée (aa) Merci Allen
FAITHLESS MARTYR
Annie Evans
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:58
BIENVENUE ! Merci pour l'inscription ! Ian et ses yeux ...
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:59
TOI TU ME RECONNAIS MEME PAS. Raison de plus pour te bouder à vie.
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 19:59
IAN est un vachement bon choix. Bienvenue par ici.
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:00
Et moi j'te connais ou pas ?
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:03
Merci. DIANNA. Je ne pense pas Bonnie. Mais on peut se connaître, je suis sociable dans mes meilleurs jours.
FAITHLESS MARTYR
Annie Evans
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:09
NOOONOOOORE ! Mais c'est ton nouveau pseudo là, il me stress.
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:15
GARDE MOI UN LIEN !
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:22
Tiens, tu me donnes un nouveau surnom. J'aime ça espèce de toi. Pas de soucis pour le lien.
FAITHLESS MARTYR
Annie Evans
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:24
Ah oui, non, mais ça y est. Tu peux me traiter de blonde. Je me suis encore trompée, j'ai cru que t'étais Nonore, mais non : OOOLIIVIIIA ! Mais arrêtez de changer votre pseudo, je suis complètement perdue.
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:28
Pardon, mais
FAITHLESS MARTYR
Annie Evans
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:29
NOOOOON, je suis désoooooléééée. Pitiiiiiéééééé, arrête de me faire la tête, je suis blonde moi ! Et Julie n'en rajoute pas une couche.
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:32
JE TE HAIS A VIE LA. J'ETAIS VENUE DANS L'ESPOIR DE TE RETROUVER MA CHERE ET TENDRE ENFANT ET TU ME FAIS CE COUP LA. Il serait surement temps que je commence ma fiche.
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Annie Evans
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:36
MAIS JE T'AAAAIIIIIIIMEEEEEE !
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:36
c'est vrai ça ?
FAITHLESS MARTYR
Annie Evans
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:37
Oui ! Aishiteru ça veut dire je t'aime.
Maintenant que je t'ai avoué mon amour en public, je te laisse faire ta fiche.
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Sujet: Re: titrencours. Mer 22 Juin - 20:47
deux mois après, tu me le dis. je vais la faire, de suite.